dimanche 13 septembre 2009

Nuées, mes belles...

Fascinants tourbillons muent par le moindre changement imperceptible d'atmosphère.
Des heures à les regarder, à m'en entourer, à les absorber.
Imprégnée jusqu'au bout du soir au matin.
Ces volutes assassines...
M'en défaire après tant d'années sera malaisé.
Comme un crime à la beauté éphémère engendrée par la science du Chaos.




Demain, j'arrête.

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