Des lieux, des événements, tous recensés par des blogs utiles et forts bien renseignés pour répondre à la question : "où vais-je errer cette nuit ?"
Œuvré par des défenseurs des causes sonores explosives, un calendrier avec une mine d'infos :
Gomorrhe fucking web center
Activistes dans l'univers (vaste) des musiques sombres et des caves hantés :
Convulsions sonores
samedi 1 mai 2010
samedi 20 mars 2010
samedi 6 mars 2010
Like a bird on a wire
"Souvent, pour s'amuser, les hommes d'équipage
Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers,
Qui suivent, indolents compagnons de voyage,
Le navire glissant sur les gouffres amers.
A peine les ont-ils déposés sur les planches,
Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux,
Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches
Comme des avirons traîner à côté d'eux.
Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule !
Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid !
L'un agace son bec avec un brûle-gueule,
L'autre mime en boitant, l'infirme qui volait !
Le Poète est semblable au prince des nuées
Qui hante la tempête et se rit de l'archer ;
Exilé sur le sol au milieu des huées,
Ses ailes de géant l'empêchent de marcher."
L'albatros - Baudelaire
Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers,
Qui suivent, indolents compagnons de voyage,
Le navire glissant sur les gouffres amers.
A peine les ont-ils déposés sur les planches,
Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux,
Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches
Comme des avirons traîner à côté d'eux.
Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule !
Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid !
L'un agace son bec avec un brûle-gueule,
L'autre mime en boitant, l'infirme qui volait !
Le Poète est semblable au prince des nuées
Qui hante la tempête et se rit de l'archer ;
Exilé sur le sol au milieu des huées,
Ses ailes de géant l'empêchent de marcher."
L'albatros - Baudelaire
samedi 20 février 2010
lundi 8 février 2010
dimanche 7 février 2010
J'ai rêvé de toi...
... tu étais dans l'ombre, à me tourner autour sans oser m'approcher.
Je te cherchais du coin de l'oeil, l'air de rien, l'air de tout...
Tu étais tenté d'aller butiner cette fleur offerte, dont je revêtais ma chaire frêle et frissonnante, sous le regard de ton désir difficilement chaste.
Emportant mes effluves délicates dans d'autre étage, perdu de mon absence, je te voyais subrepticement et rapidement apparaître, l'air de rien, l'air de tout...
Chaque bribes de paroles échangées respiraient le charnel : des mots inutiles.
L'oreille assourdie par les battements du coeur.
La raison devenue illusoire par le flot de fluides invisibles...
vendredi 22 janvier 2010
Le tampix subversif
L'originale idée du support tampon permet à une oeuvre d'être reproductible à l'infini.
En impertinent, cynique et acide, le Tampographe Sardon conçoit des tampons comme une vengeance libératrice et une bonne dose d'humour noir envers la bêtise crasse de nos systèmes humains, en détournant les codes, les images et les mots pour les rendre risibles.
A découvrir, à rire, à acheter : le Tampographe Sardon
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